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Qui veut faire quelque chose trouve un moyen, qui ne veut rien faire trouve une excuse…
"Lutter pour la nature, c’est éviter la condamnation de l’homme " Robert HainardClic sur l'image pour accéder au site REV (fondé par Aymeric Caron)
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Pétitions, les victoires : ICI
Vous qui arpentez la nature armés d'un fusil, si seulement une fois vous pouviez essayer de juste observer et
de changer votre fusil contre un appareil photo, vous pourriez alors mesurer le bonheur que
l'on peut ressentir à admirer ces animaux sauvages, libres, et à faire le choix de les laisser vivre !
Je suis certaine qu'après une telle expérience, l'envie de tuer vous quitterait.
Rassemblement pour une France sans chasse ICI
Conférence : Libération animale, et après ?L’Association LES FELINS apporte sa pierre à l’édifice de la protection & de la préservation par un travail de recherches afin
de vous permettre de mieux connaître les félins de notre planète dans tous les domaines par des textes détaillés,
des documentaires et des fiches techniques : territoire, habitat, chasse, morphologie, gestation.Aujourd’hui l’Association compte parmi ses membres des valeurs en matière scientifique et de communication, ceci afin de rédiger
et valoriser les contenus des pages sur les différentes espèces de grands et petits félins sauvages référencés sur le site.Clic sur l'image pour découvrir le site.
Protégeons les !
Le sujet de chaque photo apparaît au passage de la souris.
Le lien s'ouvre au clic sur la photo.
D'autres liens...Le loup gris : documentaire animalier
Vincent Munier - Il a rencontré le loup blanc, inapproché par l'homme depuis 25 ans
La louve de Yellowstone // Documentaire animalier
Comment les Loups changent les rivières
Protégeons les Renards
Plaquette Renard à télécharger ICI
Plaidoyer pour le Renard Roux ICI
A voir absolument pour ceux qui pensent encore que les Renards sont des animaux nuisibles.
Reportage : Photographes de l'impossibleSur la piste des Lions de l'Inde
Le seigneur des Océans : Le cachalot
Vous avez signé la pétition "Stop à la survaccination des chiens !".
De bonnes nouvelles. Devenons visibles au travers de vidéo pour être entendus et vus!
Info 1 : EMISSION RADIO
Une journaliste de Sud Radio a parlé de nous et de la survaccination des chien. "Info Radio".
Nous gagnons du terrain!
Info 2 : APPEL A VIDEO : « Sur-vaccination de mon chien : minute, je me mobilise ! »
Vous êtes nombreux à m’envoyer vos témoignages écrits poignants liés à la survaccination de vos protégés.
Vos témoignages sont très trés précieux.
Pour qu’ils puissent porter leurs fruits, je vous invite TOUS à faire une vidéo de 2-3 minutes maximum destinée aux Laboratoires
pharmaceutiques pour qu’ils arrêtent de prendre nos chiens pour des pigeons et au Ministère de l’Agriculture pour qu’il se préoccupe de la santé de
nos protégés au-lieu de donner tous les pouvoirs décisionnels aux laboratoires pharmaceutiques !
Nos chiens méritent mieux !
Soyez vous, soyez naturels. Racontez votre histoire, posez vos questions, dites votre colère. Vous pouvez m’envoyer toutes vos
vidéos sur l’adresse email : media@canisethica.org comme cela je les mettrai sur la chaine YouTube de l’association. N’oubliez pas de vous abonner
à la "chaine YouTube Canis Ethica" afin de voir les vidéos dés qu’elles seront postées.
Plus notre mobilisation sera visible, plus les français connaitront la vérité et, plus facilement nous serons entendus par les laboratoires
pharmaceutiques et les pouvoirs publics!
Info 3 COMMUNIQUE DE PRESSE :
"Communiqué de presse survaccination"
Pour plus d'informations :
"Arrêté du 10 octobre 2008 relatif aux conditions et modalités de la vaccination antirabique"
"Courriers + réponses des laboratoires pharmaceutiques et courrier à la Présidente de l’OIE"
"Etude de 1992 du Dr Michel Aubert"
Contacts pour en savoir plus :
Mme Thilo HANE présidente-fondatrice de Canis Ethica
Tel : 06 70 27 63 52
Mail : contact@canisethica.org
Contrôlez le poids de votre animal ICI
Autopsy : « Je ne supporte pas les animaux »
Pour eux, les bêtes ne sont pas des amies. Ils se sentent mal en leur présence, les trouvent sales ou sans intérêt.
Un dégoût qui parle de peur du corps et du contact physique.« Je n’ai pas de tendresse pour les animaux et ils me répugnent. Je n’ai d’ailleurs qu’une envie lorsque je vais chez des amis qui en ont,
c’est qu’ils enferment leur bête dans une autre pièce », raconte Catherine, 27ans. Sans pour autant être phobique, cette jeune femme
explique qu’elle « ne supporte pas la présence d’un animal ».
À l’image de Catherine, les personnes n’appréciant pas les bêtes sont donc animées, non pas d’une peur, mais d’un agacement,
d’un dégoût ou, tout simplement, d’un désintérêt total pour l’espèce animale.Cette attitude de rejet ne cacherait-elle pas, comme l’indique Annique Lavergne, docteure en psychologie et spécialiste du deuil animalier
au Canada, « une gêne face à l’amour inconditionnel dont les animaux font preuve » ?Un lien qui ne s’est pas créé.
« Les animaux nous ramènent à la simplicité et apportent une affection constante, sans retenue », affirme la psychologue.
Une idée difficile à accepter si l’on n’a pas été habitué précocement à leur contact. Une enfance passée sans animaux pourrait être l’une
des explications à leur rejet. Car, comme le rappelle Annique Lavergne, les prémices de la capacité d’attachement se fondent, pour beaucoup,
dans la petite enfance. Mais rien n’est immuable et on peut tout à fait apprendre à aimer les animaux.Un miroir de nous-même.
« L’animal peut nous renvoyer à l’image que nous avons de nous-même », nous renseigne la psychanalyste Marjolaine Heymes. Étant
avant tout « un être sensitif, il s’imprègne des traits essentiels de notre personnalité. Il peut alors jouer ce rôle de miroir puisqu’il est
souvent la projection – inconsciente – de son maître. » Ainsi, quand une personne déclare détester, par exemple, les chats, qui sont des animaux
indépendants, cela pourrait signifier qu’elle est en conflit, non pas avec cette espèce, mais avec ce qu’elle représente inconsciemment
pour elle. Deux cas de figure se présentent alors : soit l’individu n’a pas le tempérament qu’il attribue au chat et souhaiterait l’acquérir
(il est trop dépendant – d’une personne, de son travail – et désirerait ne plus l’être) ; soit il possède ce trait de caractère mais il voudrait en
changer (son indépendance l’isole et le fait souffrir).Une difficulté à ressentir.
« De nature instinctuelle, l’animal recherche le toucher. Il nous interroge donc sur notre propre capacité de contact », précise
Marjolaine Heymes. Et comme celui-ci passe par le corps, lorsqu’une personne n’apprécie pas les animaux, cela peut signifier qu’elle est mal
dans son enveloppe corporelle, coupée de ses sensations. Le contact et les échanges physiques deviennent ainsi, pour la personne qui n’aime
pas les bêtes, une source d’appréhension, voire d’angoisse. Une peur d’investir son corps, et, par là même, de laisser trop de place à ses émotions,
l’envahit,et c’est ce surinvestissement de son mental au détriment de son ressenti qui l’empêche d’avoir accès à l’animal.
Que faire ?Faites preuve d’empathie. Essayez de vous mettre à la place d’une personne que vous connaissez bien et qui possède un animal. En vous plaçant
de son point de vue, vous pourrez entrapercevoir ce que son compagnon lui apporte et saisirez ainsi mieux pourquoi votre ami l’aime.
Peut-être commencerez-vous alors à considérer l’animal autrement et à estimer qu’il est digne d’intérêt, voire d’amour.
Dites vous aussi que la tendresse peut s’apprendre.
Réappropriez-vous votre corps.Le contact avec un animal engage le corps. S’il vous est désagréable, c’est peut-être que le toucher d’une manière générale, celui des bêtes
comme des humains, vous met mal à l’aise. Commencez par vous octroyer le droit de ressentir du plaisir par la peau. Le massage d’un professionnel,
les caresses de votre compagnon ou les crèmes que vous appliquez sur votre corps peuvent vous donner accès à cette sensualité.Capucine Junguenet
Photo Elaine (je l'ai légèrement retouchée)TOUTES LES RAISONS POUR ÊTRE OU DEVENIR VÉGÉTARIEN
Quelques chiffres à méditer !!!
L'HOMME : Omnivore... ou Végétarien de nature ?! : ICI
Alimentation humaine : Que dit le corps ? ICI400 raisons d'être végétarien pour sauver des vies et la planète... ICI
Cliquer sur la bannière, des chiffres qui sont vraiment impressionnants !
#7900Litres : eau secours ! -> ICIL'impact de la viande sur les humains, les animaux et l'environnement - Gaspillage et pollution de l’eau -> ICI
L'impact de la viande sur les humains, les animaux et l'environnement -> ICI
Le fait carnivore, l’autre névrose de l’humanité
Quelques définitions
Végétarien :
Personne consommant uniquement des végétaux, ainsi que des œufs, du lait et du miel. Un végétarien ne consomme aucune viande,
que ce soit celle des animaux terrestres (oiseaux, insectes, mollusques, bovins, etc.) ou des animaux marins
(poissons, « fruits de mer » - crustacés, mollusques -, mammifères marins - baleine -, etc.).
Un végétarien ne consomme, bien sûr, aucun sous-produit de l’abattage des animaux, par exemple la gélatine, la présure, le caviar.
On peut distinguer les lacto-ovo-végétariens, qui consomment,
en plus des végétaux, des œufs et du lait, des lacto-végétariens, qui ne consomment, en plus des végétaux, que du lait, ou encore les ovo-végétariens,
qui ne consomment, en plus des végétaux, que des œufs.
Végétalien (ou « végétarien strict ») :
Personne consommant uniquement des végétaux (plus des minéraux ou micro-organismes comme des levures ou des bactéries). Un végétalien ne
consomme ni viande, ni sous-produits d’animaux terrestres ou marins, ni œufs, ni lait, ni miel. En pratique, un végétalien ne s’en tient pas qu’aux produits
qu’il mange et est souvent « vegan ».
Vegan :
Terme anglo-saxon, souvent traduit par « végétalien » en français. Seulement, un vegan, en plus d’être végétalien, n’utilise aucun produit d’origine
animale dans toutes les facettes de sa vie. Que ce soit ses habits, chaussures, produits cosmétiques, objets divers, agriculture, loisirs, etc..
Il n’utilise donc ni cuir, ni laine, ni fourrure, ni cire d’abeille, ni produits testés sur les animaux, etc..
Un vegan n’accepte d’utiliser dans sa vie, que des produits non-issus de la souffrance d’un animal : végétaux, minéraux ou micro-organismes
(non-testés sur les animaux). Ce mode de vie reste un idéal, mais il est le plus approprié, à notre avis, et il tient à chacun d’y tendre suivant ses possibilités.
Frugivore / Fruitarien :
Personne qui ne se nourrit que de fruits (frais, secs et graines). L’idée majeure derrière ce mode d’alimentation est de ne pas détruire de plantes
pour se nourrir, ce qui peut être évité, dans une certaine mesure, si on se contente de cueillir des fruits des arbres. L’avantage peut être aussi dans la réduction
du nombre d’animaux tués par accident par les cultures mécanisées des végétaux. Nous n’assurons pas d’information sur cette alimentation et nous ne
la conseillons pas car nous ne connaissons personne qui la pratique réellement depuis longtemps.
Libération Animale :
La Libération Animale se donne comme objectif que les animaux n’aient plus à souffrir et ne soient plus exploités pour les intérêts des humains.
Que ce soit pour les manger, utiliser leur force, les torturer pour la vivisection ou autres, s’en servir pour ses loisirs, etc..
Droits des animaux (« Animal Rights » en anglais) : les droits des animaux, est une lutte qui consiste à obtenir que les animaux soient considérés comme
des êtres conscients ayant des droits. Le premier droit étant celui de ne pas être maltraité, tué et mangé.
Antispécisme :Façon de penser considérant qu’il n’y a pas de raisons de privilégier les intérêts des êtres conscients en fonction de leur appartenance à une espèce.
L’antispécisme se veut politique et place cette discrimination au même niveau que le racisme ou le sexisme.
Certains antispécistes passent beaucoup de temps, entre eux, à émettre des théories, à se questionner, à réfléchir et à faire de la philosophie.Quelques végétariens célèbres :Platon, Plutarque, Pythagore, Confucius, Albert Schweitzer, le Dalaï Lama, Théodore Monod, Suzanne Antoine,
Darwin, Albert Einstein, Leonard de Vinci, Isaac Newton, Thomas Edison, Gandhi, Alphonse de Lamartine,
Frantz Kafka, John Robbins, Shelley, Horace, Marguerite Yourcenar, John et Yoko Lennon, Bob Dylan, Paul McCartney,
Moby, Annie Lennox, Madonna, Prince, Alec Baldwin, Kim Basinger, Arielle Dombasle, Jennie Garth, Pamela Anderson,
Nathalie Portman, Lindsay Wagner, Alyssa Milano, Richard Gere, Claudia Cardinale, Martina Navratilova, Steve Jobs...
et encore ICI
A lire... sur le sujet du végétarisme.Matthieu Ricard le Blog : ICI
Quelques extraits :
Qu'y a-t-il donc de si inavouable à dissimuler derrière les murs des abattoirs et sous les hangars des élevages industriels ?
Ce qui est est exposé dans ce chapitre est choquant.
Faudrait-il le faire précéder de l'avertissement "âmes sensibles s'abstenir" ? Vous pourriez être tenté de tourner les pages pour passer à la suite.
Mais pour se sentir concerné par le sort d'autrui et, dans la mesure du possible, agir pour remédier à ses souffrances, ne faut-il pas en prendre la mesure ?
L'histoire a montré que détourner le regard a toujours laissé libre cours aux pires atrocités et a retardé les interventions nécessaires à les enrayer.
A quoi bon édulcorer la réalité ? Ne Vaut-il pas mieux la regarder en face et y puiser le courage de la compassion ?Toutefois, se préoccuper du sort des quelque 1,6 million d’autres espèces qui peuplent la planète n'est ni irréaliste ni déplacé, car, la plupart du temps,
il n'est pas nécessaire de choisir entre le bien-être des humains et celui des animaux. Nous vivons dans un monde essentiellement interdépendant,
où le sort de chaque être, quel qu’il soit, est intimement lié à celui des autres. Il ne s'agit donc pas de ne s'occuper que des animaux, mais de s'occuper aussi des animaux.Qu'on en juge au vu de ces quelques chiffres :
- l'élevage contribue à 14,5% des émissions de gaz à effet de serre liées aux activités humaines, en deuxième position après les bâtiments et avant les transports.
- Pour produire 1kg de viande, il faut utiliser 10 kg d'aliments qui pourraient nourrir les populations des pays pauvres qui les produisent.
- 60 % des terres disponibles dans le monde sont consacrées à l'élevage.
- L'élevage à lui seul consomme 45 % de toute l'eau destinée à la production d'aliments.
- En réduisant la consommation de viande, on pourrait éviter 14% des décès humains dans le monde.Les chewong de Malaisie, rapporte l'éthologue Dominique Lestel, ne divisent pas le monde en humains et non-humains. Ils considèrent que les représentants de chaque
espèce ont un regard sur le monde qui leur est propre. Ainsi, leur perception du monde s'organise selon une "voie du tigre", une "voie de l'ours" et une "voie de l'homme.
Ce que perçoit chaque espèce, est pour elle, aussi vrai que ce que perçoit l'être humain.
Il nous incombe à tous de continuer à favoriser l'avènement d'une justice et d'une compassion impartiales envers l'ensemble des êtres sensibles.
La bonté n'est pas une obligation : elle est la plus noble expression de la nature humaine.
Pour ceux qui ont besoin d'images pour mieux comprendre ces propos, voir le film "Terriens" ou sur ma page "ICI j'accuse !"
Ce film est extrêmement dur pour ne pas dire intolérable et pourtant... c'est le quotidien de millions d'animaux chaque jour !!!!!MERCI VEGAN
Un site très intéressant : des tas d'astuces, des conseils pour la protection animale, des recettes....A lire... cela parle des animaux et de l'homme.
"Le Peuple Animal" : synopsis et quelques extraits du livre