Étourneau sansonnet

Il est superbe

Avec toi, j'apprends les oiseaux!

Superbe série sur un ciel gris.<br /> D'accord avec ton analyse,ta comparaison entre cet oiseau et l'homme,tu as raison de le rappeler.<br /> Bisousss

WouAAA.... Là j'admire !!!!! Que tes photos sont belles, j'en suis jalouse, ben oui lol :))<br /> Ils sont une colonie dans le prés voisin, ils n'ont qu'au voler au-dessus de la clôture, mais.... sans déconner, ils abusent, ils restent là-bas... pppffff <br /> Je me régale avec tes beaux plans. Merci !!! <br /> Rappelons juste que cet oiseau n'est même pas dans le TOP 10 des oiseaux de France.....<br /> Bisous

Un sacré bel oiseau. J'aime le soir les voir s'envoler en bandes, faire des arabesques dans le ciel.

un plumage toujours aussi beau, je n'en ai presque pas vu cette année alors qu'ils étaient là à foison l'année derniere..

un bel oiseau quand même !! A+

Bonjour Pascale,<br /> Ton diagnostique est implacable. Le temps n'est pas encore venu (s'il vient un jour) où chacun d'entre nous imitera le colibri pour éteindre l'incendie.

Ce petit oiseau inspire vraiment dégâts, ravages... et pour beaucoup il n'est pas aimé.Mais le jour on un animal, quelque il soit fera autant de dégâts que ne le font les humains, et bien on pourra peut-être le considérer comme étant destructeur. Pour le moment, l'animal le plus destructeur que je connaisse reste l'homo sapiens. Le seul d'ailleurs avec le rat taupe - mais lui pour d'autres raisons - qui soit capable de tenter d'exterminer sa propre espèce et son habitat, le seul qui soit capable d'infliger de la souffrance par plaisir, par sport, par volonté de domination et de pouvoir...  et je crois qu'il ne sera pas détrôné avant bien longtemps. Il se sera détruit tout seul avant !Nous voyons les animaux (beaucoup d'entre eux) comme étant destructeurs parce que leur vie en tant que telle induit des dégâts dans les cultures ou ailleurs dans nos vie d'humains, parce que comme nous ils ont besoin de se nourrir, et forcément les cultures y sont propices. Mais nous, que faisons nous dans leur vie à eux, et je parle en général, de tous les animaux, même ceux que nous disons aimer (une jolie vache par exemple) ? Que faisons nous de leur environnement à eux, de leur propre vie, du droit au respect de leur existence et même du droit à être considéré comme des êtres sensibles comme nous prétendons l'être... que faisons nous ?Je me demande souvent, si tous ces animaux pouvaient parler, ce qu'il diraient de nous... je crois que nous serions beaucoup moins fiers. Mais ils ne peuvent que se taire et... subir !"Lorsque, avec vos armes crachant le feu,  vous parcourez les garrigues et que vous  nous traquez jusque dans nos abris, vous  ignorez à quel point nous pleurons sur ce qui  vous habite. Ne croyez pas que ce soient nos  corps qui tremblent. C'est ce quelque chose  en nous sachant capter et lire la flamme qui,  en vos yeux, vous consume. Cette dernière n'est  pas la flamme de celui qui doit vivre mais celle de  celui qui a enraciné en lui le besoin de détruire".    Extrait de  "Le Peuple Animal"  (Paroles de Lièvre) D. Meurois et A. Givaudan"Pourquoi traitons-nous avec tant d’égards les animaux de compagnie, substituts de l’homme, et si mal les bêtes à manger, machines à fabriquer de la viande ? Alors que nous consommons chaque année des milliards d’animaux issus de la terre et de la mer, il est temps que nous descendions de notre piédestal pour les retrouver, les écouter, les comprendre. J’ai voulu aussi lancer un appel pour que cesse le scandale des abattages rituels, halal ou casher, qui imposent à nos sœurs et frères les bêtes des mises à mort dans d’inutiles souffrances." Extrait de "L"animal est une personne" de Franz-Olivier Giesbert"Nous tuons chaque année 60 milliards d’animaux terrestres et 1 000 milliards d’animaux marins pour notre consommation. Un massacre inégalé dans l’histoire de l’Humanité qui pose un défi éthique majeur et nuit à nos sociétés : cette surconsommation aggrave la faim dans le monde, provoque des déséquilibres écologiques, est mauvaise pour notre santé. En plus de l’alimentation, nous instrumentalisons aussi les animaux pour des raisons purement vénales (trafic de la faune sauvage), pour la recherche scientifique ou par simple divertissement (corridas, cirques, zoos). Et si le temps était venu de les considérer non plus comme des êtres inférieurs mais comme nos « concitoyens » sur cette terre ? Nous vivons dans un monde interdépendant où le sort de chaque être, quel qu’il soit, est intimement lié à celui des autres. Il ne s’agit pas de s’occuper que des animaux mais aussi des animaux." Synopsis de "Plaidoyer pour les Animaux - Matthieu Ricard

Ah les étourneaux! qui font tant de dégats, lorsqu'ils ont élu domicile quelque part... mais c'est un bel oiseau ( une belle capture de ton oeil numérique!) et leurs vols en bande dans le ciel, de toute beauté.